Un document * publié par le OF & G (Organic Farmers & Growers) en Grande Bretagne montre comment une extension de la culture bio peut contribuer à diminuer les impacts de l’agriculture sur l’environnement, la perte de biodiversité et le changement climatique. Actuellement, l’agriculture bio utilise 3,5 % de la surface agricole utile. L’étude de 21 pages estime les gains dans 2 scenarii : le passage à 10 % de surfaces en bio, et celui à 25 %.
Les auteurs partent de 2 postulats : d’une part il n’y a pas une bonne manière de produire de la nourriture, d’autre part, au vu du risque bien réel que le système actuel ne s’effondre (à cause du changement climatique qui s’accélère et de la biodiversité qui se dégrade rapidement), l’agriculture biologique peut contribuer de manière significative à continuer à nourrir la population du fait que c’est un système qui s’inscrit dans les limites planétaires (alors que l’agriculture conventionnelle est largement en dehors, c-à-d non durable). L’agriculture bio, qui opère dans ces limites planétaires (« planetary boundaries » en anglais), permet d’améliorer la biodiversité, de réduire les impacts sur le changement climatique tout en produisant des aliments de qualité et en améliorant le bien-être animal.
Crédit photo : Fiwap
Trouvez la suite de l’article dans le PDF dont le lien se trouve sous l’image d’illustration de l’article (réservé aux membres).
Les articles de ce site « fiwap.be » n’engagent pas la FIWAP hormis ceux rédigés par ses collaborateurs. La FIWAP ne peut néanmoins aucunement être tenue responsable de l’usage fait de ces articles ou de leur contenu. Retour à la documentation >