Le changement climatique est un fait incontestable, avec des conséquences déjà concrètes sur les différents métiers de la pomme de terre. Ce n’est malheureusement pas nouveau : l’agriculture doit affronter plus fréquemment des évènements plus extrêmes tels que sécheresses prolongées, canicules, pluies intenses, absence de gel… Nos pratiques culturales doivent s’adapter, tout comme nos stratégies de protection des cultures et de conservation des récoltes. Mais dans quel sens ? Avec quels outils ?
En matières phytotechniques, les leviers disponibles sont nombreux : variétés, travail du sol, irrigation… Mais les adaptations nécessaires doivent aussi être acceptées par les marchés, rester pratiquement applicables et économiquement soutenables.
Les maladies et ravageurs évoluent continuellement et la protection des cultures doit s’adapter aux cycles biologiques plus rapides, aux virulences parfois renforcées, et aussi aux nouvelles menaces identifiées.
Dans la période actuelle de coûts très élevés de l’électricité, la question de la maîtrise de la consommation énergétique en stockage devient aussi brûlante. Des outils existent pour gérer ces coûts, sous forme d’équipements innovants, de capteurs de consommation, de systèmes de régulation des installations…
Tous ces aspects seront traités dans le programme fourni de cette 29ème assemblée générale qui fait appel à des orateurs du privé (Tolsma et Broptimize), et des institutions de la recherche belge (ILVO) et française (Arvalis).
Déroulement:
Partie statutaire réservée aux membres :
Partie publique :
Produire les pommes de terre à l’heure du changement climatique :
Comment réduire la facture d’électricité en conservation de pommes de terre :
Les articles de ce site « fiwap.be » n’engagent pas la FIWAP hormis ceux rédigés par ses collaborateurs. La FIWAP ne peut néanmoins aucunement être tenue responsable de l’usage fait de ces articles ou de leur contenu. Retour à la documentation >